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Imaginez un monde où les compétences de chacun s’unissent en une intelligence collective. Kenneth J. Arrow, dans son article ‘The Economic Implications of Learning by Doing’, montre comment cette approche peut stimuler l’innovation et la croissance économique. Un programme passionnant.
Le Learning by doing, qu’est-ce donc?
C’est l’apprentissage par la pratique et l’expérience.
Comment ?
En transformant chaque expérience en opportunité d’apprentissage et stimulant la créativité, en travaillant sur des projets communs, ceux qui y participent deviennent à la fois producteurs et bénéficiaires de l’intelligence collective. Chacun apprend alors pour lui-même et avec les autres, de lui-même et des autres. Assez original comme processus. C’est ce qu’explique en détail cet article de e-marketing.
1. Identifier des défis collectifs qui ont pour but de résoudre des problèmes concrets.
2. Constituer des équipes projets de volontaires aux profils variés, travaillant ensemble pour réaliser quelque chose de commun.
3. Définir des périodes de deux jours à plusieurs semaines de progression
4. Faire participer une personne extérieure, intéressée par les défis, qui signifie son intérêt, questionne le groupe et lui apporte son soutien.
5. Les équipes présentent leurs réalisations devant, par exemple, un jury, partagent leur expérience et leurs apports.
Tenté par learning by doing? Alors misez sur :
– un bon coach-facilitateur
– des outils et une méthode
– une agilité avec le temps
– du partage
Le learning and doing permettra donc
introduire de nouvelles idées, produits, services
de découvrir de nouvelles méthodes
et de répondre à des besoins ou résoudre des problèmes de manière plus efficace ou différente.
Vous vous sentez prêtes ou prêts à évoluer avec un groupe en Learning by doing ; formidable.
Si vous souhaitez préparer cela en binôme avec l’un d’entre nous ou être accompagné sur l’ensemble de votre projet, notre équipe est là, contactez-nous.
Lorsque nous avons participé à la fresque numérique, nous avons découvert quels étaient les impacts des technologies sur l’environnement. L’enjeu majeur est la maîtrise de la production de nouveaux appareils (ordinateurs, écrans, mobiles…). Pouvoir conserver un équipement ancien tout en évoluant sur des sites récents est donc un des atouts pour limiter notre impact. L’éco-conception présente donc un intérêt à ce niveau notamment.
Si vous vous demandez : qu’est ce que l’éco-conception? Nous pourrions vous formuler la réponse suivante : c’est envisager les bonnes pratiques de conception pour permettre de créer des services numériques qui ont une empreinte environnementale minimale.
On cherche à :
Pour faciliter la mise en œuvre de bonnes pratique, le collectif Greenit propose une check list de 115 actions possibles ordonnée selon vos besoins.
Les designers éthiques nous proposent aussi leur vision de la conception éthique avec ce guide en français et ce guide international.
Les élément clés à avoir en tête pour bien éco-concevoir sont :
– diversité
– économie de l’attention
– accessibilité
L’effet papillon de l’éco-conception : une expérience utilisateur améliorée
Un site ou une appli éco-conçue ont donc résolument un impact environnemental plus faible, mais, et là c’est bonus, ils permettent également une meilleure expérience utilisateur.
Dans cet article, Ouestmédia vous propose :
A l’instar du sportif, il est essentiel de réfléchir et s’entrainer pour bien concevoir. Nos équipes savent consacrer le temps nécessaire à chacun et conseiller. Elles font preuve de bon sens, clé d’une démarche éco.
Concevoir des contenus et les écrire demande du temps, des idées et du renouvellement. La magie des innovations technologiques facilite désormais cela. Toutefois, il est nécessaire pour les responsables marketing d’avoir une bonne conscience des limites de leur utilisation.
L’IA générative a tant progressé qu’elle peut désormais produire du contenu. Le niveau obtenu est tel que les humains n’ont qu’à bien se tenir. L’article publié par Skyworld, spécialiste des contenus aux Etats-Unis, l’explique clairement. ChatGPT sucite un bel intérêt, à raison. Il permet de gagner du temps, de produire plus, mais pas seulement. Comme l’indique cette vidéo consacrée aux enjeux du brand content et de l’IA, on peut même faire « ingérer » les codes d’expression d’une marque à cet outil et donc lui faire générer des contenus empreints de l’ADN de la marque. Très attractif.
Les IA telles ChatGPT atteignent de belles performances. De nombreux journaux font appel à elles. L’article cite notamment Le Washington Post, le Los Angeles Times, le Guardian mais aussi Forbes. Toutefois, en poussant l’exploration on comprend que l’IA est surtout utilisée pour créer certains types de contenus, qui synthétisent des données ou des évènements. L’audience en est alors satisfaite. En revanche, tous les contenus ayant attrait à l’opinion ou l’art ne peuvent être concernés. D’autres expériences viennent également confirmer qu’un regard humain reste indispensable pour s’assurer du respect de l’éthique.
A mesure que l’utilisation va se développer, les marketers vont avoir pour défi de continuer à faire émerger leurs contenus. A l’instar de ceux qui voient leurs contenus boostés en paid ne plus performer, il est fort probable que ceux qui seront devenus dépendants de l’outil auront plus de mal à faire surface dans ce content shock des « IA-content ».
S’imposer avec ses contenus repose avant tout essentiellement sur l’originalité, la création à l’issue d’une belle réflexion, particulièrement différenciante des autres propositions faites. C’est là que se trouve la clé. Nos équipes prennent plaisir à explorer et elles visent systématiquement cet objectif. Nos experts et créatifs co-créent avec vous pour saisir votre entité, ses codes et twistent pour trouver le content-tilt indispensable à tout contenu.
Les histoires modifient nos attitudes, nos croyances, nos comportements et elle peuvent parfois même encourager la coopération.
Quel élément extraordinaire à explorer pour nous communicants et spécialistes du marketing. Il émerge « que les messages transmis sous forme de récits sont 22 fois plus mémorables que les déclarations factuelles », c’est ce que nous indique l’article publié par Toast Studio à Montréal.
Notre incroyable machine cérébrale est capable de générer de l’ocytocine lorsque l’on nous fait confiance ou que l’on nous signifie de la gentillesse. Notre cerveau se met en posture de confiance et produit cette substance.
Exposés à des récits filmés, nous allons également générer de l’ocytocine. Et plus passionnant encore « les récits axés sur les personnages provoquent systématiquement la synthèse d’ocytocine ».
L’article de Paul J. Zak et publié dans La Harvard Businness Revue nous éclaire totalement sur ce phénomène. Ce professeur d’économie, de psychologie et de gestion et expert en neurosciences y raconte plusieurs expériences menées.
Chaque marque aura donc une attention particulière à porter à ce fameux storytelling. Elle pourra raconter l’histoire de son fondateur, d’un savoir-faire, d’une de ses innovations, des personnes au coeur de l’entreprise, de ses ingrédients. Tout est pratiquement possible, l’essentiel est toutefois de rester fidèle à une réalité.
Co-explorer la dimension narrative de la marque est l’une des étapes favorites des équipes Beasty. Nous évoquons ici une implication collective, car qui mieux que les équipes situées au cœur de l’entreprise sont à même de saisir son identité et son potentiel narratif.
La progression ultime nous indique la Harvard Revue permet d’aller jusqu’à susciter le désir d’aider les autres. Mais ce souhait de permettre à chacun de ressentir cette envie d’aider autrui ne peut fonctionner que si :
Nous désirons aider les marques à susciter cet élan. Raconter des histoires qui touchent le public fait depuis toujours partie de l’ADN de Beasty.
Lorsque l’on crée des contenus, on souhaite transporter l’audience, la captiver, l’amener jusqu’à un état où elle oublierait la notion de temps et se trouverait totalement réjouie.
Cette expérience que nous désirons faire vivre à notre audience s’appelle le flow. Cet état est défini en 1975, par le psychologue hongrois Csikszentmihalyi, comme un état d’activation optimale dans lequel le sujet est complètement immergé dans l’activité.
Mais quels sont les indicateurs de l’apparition et de l’intensité du flow ?
Ils sont au nombre de cinq, selon P.Demontrond et P. Gaudreau, dans cet article.
Comment concevoir des contenus favorisant l’activation de ce flow ?
Découvrir des contenus c’est avant tout vivre une expérience. La teneur et la richesse de ce vécu sont déterminantes comme le signifie D.Bô dans son ouvrage « Les clé d’une stratégie éditoriale efficace et pérenne ».
On visera par exemple à :
Chercher à atteindre cet état nous anime. Accorder réflexion et temps pour bien concevoir permet de rassembler de meilleurs conditions pour engager les publics et dans le même temps atteindre les objectifs de la marque.
532, c’est le nombre de séries diffusées aux États-Unis en 2019. Comme l’indique cet article, ce phénomène est qualifié de « Peak TV » par John Landgraf, Président de la chaîne télévisée américaine FX. La production de séries a plus que doublé en 10 ans. La demande n’a jamais été aussi forte depuis l’invention de la télévision. Elles sont partout et prennent de plus en plus de place dans nos cultures. « Spoil », « binge watching »… Même notre langage est influencé par elles.
Chaque marque peut choisir son propre style et son propre format : court, long, fiction, documentaire, vidéo, audio… Yves Saint Laurent a par exemple décidé de lancer fin 2021 « Push the Boundaries », une série documentaire sur de jeunes artistes inspirants qui repoussent à la fois les limites de leurs performances et celles de la société. L’idée est de prolonger la phrase d’Yves Saint Laurent qui souhaitait « participer à la transformation de [son] époque ». L’équipe d’YSL a ensuite créé un véritable écosystème autour du concept « Push the Boundaries » en proposant également un grand événement organisé à Shanghai.
Au sein de l’agence, nos créateurs aiment jouer avec les codes, trouver la narration pour atteindre des cibles de niche. Forts de leur expertise en production de contenus pour les médias TV (France 2, TF1, Groupe Canal+…), ils aiment également relever le défi de vulgariser et rendre accessible au public des sujets pointus et domaines spécialisés. Dans ce contexte Beasty a récemment produit la série « En vrai », qui a généré une audience cumulée de 1,2 million de vue en seulement 1 mois sur Youtube.
L’Upcycling, littéralement « Recyclage par le haut », est une tendance bien connue dans la mode et la déco. Elle est tout à fait pertinente lorsqu’il s’agit de réinventer des contenus existants en leur donnant une réelle plus-value pour séduire de nouvelles audiences !
Étape 1 : dresser l’inventaire de ses contenus
Il s’agit tout d’abord de plonger en eaux profondes et de procéder à un tri exhaustif des contenus, tous canaux de diffusion confondus (interne, externe, digital, print…). Cette étape importante permettra de cartographier, analyser, filtrer, afin d’identifier le potentiel des contenus qui pourront être recyclés et transformés.
Étape 2 : Établir une stratégie de contenu claire
A partir de cet inventaire, il va falloir définir la stratégie permettant d’aller chercher l’audience souhaitée. L’enjeu ici sera de ne pas simplement réutiliser les contenus existants mais de les rééditorialiser pour raconter une nouvelle histoire, unique via des moyens et formats inédits.
Étape 3 : Reformater les contenus
C’est la phase créative pendant laquelle les contenus vont se transformer. Cela peut être aussi bien sous forme de fusion de plusieurs contenus en un seul. Ou contraire, de déclinaison d’un contenu en plusieurs modules plus courts : par exemple, une longue vidéo ou webinar B2B ou interne en mini-série pour les réseaux sociaux. Enrichir un article ou une vidéo d’une infographie ou d’un motion design peut également être une façon de les valoriser et favoriser leur compréhension et leur partage.
Dans son article, Nadya Khoja propose 7 façons de reproposer un contenu déjà existant.
Étape 4 : Aller à la rencontre des publics
La diffusion de ces nouveaux formats de contenus sur les différents canaux choisis lors de la phase stratégique permettront d’atteindre de nouvelles audiences ou de renouer le lien avec les publics existants.
Cette démarche, très intéressante d’un point de vue économique, est également une manière efficace et intelligente de répondre à la nécessité de maintenir une relation constante avec ses publics. Chez Beasty Prod, nous sommes particulièrement attachés au fait de produire avec une démarche éthique et raisonnée. Pour nous, définir avec nos partenaires des stratégies éditoriales claires et porteuses de sens, est déterminant.
Ces derniers mois ont permis de découvrir et d’expérimenter de nouvelles façons de travailler, et notamment à distance. Ce type de collaboration possède de nombreux avantages mais peut également engendrer certains désagréments pour les salariés, qui ont besoin de lien social.
Les services communication et ressources humaines travaillent donc aujourd’hui main dans la main pour maintenir et créer du collectif. Ils inventent de nouveaux modes d’interactions avec les équipes, afin de pallier à l’isolement des télétravailleurs, comme l’évoque l’article du Monde.
Des émissions pour toucher de nouvelles audiences au sein de l’entreprise
« Il y a eu basculement du contenu du message vers la relation aux salariés », estime Jean-Marie Charpentier, administrateur de l’Association française de communication interne. En effet, il y a une volonté de démocratiser la parole au sein de l’entreprise et de mieux comprendre les salariés.
Certaines grandes entreprises comme Engie, Sodexo, Edenred ou LVMH ont remplacé leurs événements physiques par la production d’émissions, parfois animées par des personnalités de la télévision (Marie Druker chez LVMH). Cette nouvelle stratégie permet également de toucher une audience plus large, plus internationale.
L’audio et le podcast au cœur des usages des salariés
Une étude de Kantar réalisée en début d’année pour la Croix place la radio comme le média le plus crédible auprès des français. Tel que l’énonce l’article de podcast.fr, l’audio est donc un très bon moyen de créer du lien, car il instaure une certaine intimité avec le public. La voix humaine apporte du réconfort et du repos au sein d’un monde où les écrans sont omniprésents et sur stimulent l’esprit.
Haropa, le premier ensemble portuaire de France, a lancé un podcast quotidien qui a but de maintenir le lien malgré le contexte compliqué. Chaque épisode est composé de deux parties : “Le Hub de l’info”, avec les toutes dernières informations concernant Haropa, et “La Rencontre”, l’interview d’un salarié évoquant les actions qui a menées pendant la crise sanitaire. A l’origine, ce média avait été conçu pour durer le temps du confinement, mais au vu du succès de ce format, il a été décidé qu’il allait devenir le premier outil de communication commun aux trois ports.
Le groupe pharmaceutique Ipsen a quant à lui créé en 2020 une radio pour les salariés du groupe. « Dès le premier confinement, le 18 mars, on a mis en place une webradio pour garder le lien avec les collaborateurs, et pour qu’ils puissent suivre l’évolution de la pandémie, notamment en Chine où ils ont des collègues. Des salariés racontaient comment ça se passait avec le Covid pour leur métier, comment ils s’adaptaient au jour le jour », explique Régis Mulot, responsable des ressources humaines d’Ipsen France. A 9 heures, « Mini-Morning » : les actus du jour, à 11 h 30, « Les auditeurs ont la parole », une série de questions-réponses, à 17 heures, « Minidrive » : le récapitulatif de l’actu de la journée et l’interview d’un salarié.
Le travail à distance s’installant dans la durée, ils ont décidé de pérenniser ce média en l’adaptant aux demandes des salariés : ils ont ajouté un live avec des membres de la direction et une session hebdomadaire pour échanger sur la gestion du stress.
Bien concevoir des contenus et trouver les bons formats pour l’interne demande une analyse particulièrement fine des besoins. Il est primordial de savoir écouter les salariés et les comprendre en leur donnant la parole, tout en respectant l’ADN de l’entreprise. Avec les équipes de Beasty, nous aimons tout particulièrement ce type de défi, que nous avons notamment eu l’occasion de relever avec le groupe COVEA. Nous avons imaginé et piloté pour eux un projet de création participative avec plus de 5000 salariés.
TikTok, continue sa progression fulgurante. Avec ses 800 millions d’utilisateurs dans le monde, l’application de partage de vidéos est la plus téléchargée ces dernières années. Elle compte plus de 2 milliards de téléchargements sur l’Apple Store et sur Google Play en 2020.
Toucher les jeunes de moins de 30 ans c’est possible
Elle connaît un vif succès chez les jeunes : 41% des utilisateurs ont entre 16 et 24 ans, et 66% moins de 30 ans. Ceci s’explique notamment par le principe même de l’appli, à savoir les vidéos courtes (moins d’une minute), qui captent l’attention de la génération Z. Par ailleurs l’audience est très engagée, puisque 90% des utilisateurs se servent de l’application quotidiennement, et 55% créent leurs propres contenus.
Des contenus en phase avec les usages
Marques destinées aux jeunes, universités, institutions culturelles, aucune ne manque à l’appel. Elles s’adaptent aux tendances qui émergent en permanence sur le réseau social et coïncident avec les usages de leur cible. C’est notamment le cas de l’université de Floride, qui compte plus de 98 000 abonnés. Elle crée des campagnes virales, en proposant notamment des challenges aux étudiants, comme dans l’exemple ci-dessous où l’on voit des jeunes accomplir un dance challenge dans l’un des plus beaux endroits du campus.
@uf ???? = Chad & Emma from the School of Theater + Dance, UF College of the Arts.
♬ Cradles – Sub Urban
Tik Tok ads : une opportunité
TikTok France propose également de publier des annonces publicitaires à travers sa plateforme TikTok Ads. Elles apparaissent sur le fil d’actualité des utilisateurs comme une vidéo classique. Trois types de campagnes existent et permettent d’atteindre différents objectifs :
Chez Beasty, notre connaissance des générations Y et Z nous permet de proposer une stratégie et des contenus inédits adaptés à cette audience et ses usages.